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GénéalogieLes décorations, médailles et insignes de la famille

Mise à jour le 02/03/2014. Cette galerie sera complétée.

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Ce morceau s'intitule "Movement of Time 1" et a été composé par Robert Parenton. Vous pouvez écouter son album sur Triphonic Perceptions

Cette galerie regroupe les décorations civiles ou militaires de la famille. Quelques objets symboliques y sont aussi représentés.

Première guerre mondiale


Médaille Militaire de Silvain Parenton

La deuxième récompense dans la hiérarchie des décorations françaises est la Médaille Militaire : institué par Louis Napoléon Bonaparte (futur Napoléon III) le 22 janvier 1852, le modèle ci dessous est dit « du septième type ».
C'est le modèle de 1914. Un trophée d'arme fait jonction avec la médaille.

Médaille Commémorative de Verdun de Silvain Parenton

En 1914, dès l'entrée en guerre, le nord du département est occupé durablement par l'ennemi. Les combats meurtriers sont incessants sur toute la ligne du front, qui s'est stabilisé en Meuse sur près de 120 kilomètres: Vauquois, Le Mort-Homme, Les Éparges y acquièrent une tragique renommée.

À partir du 21 février 1916, Verdun concentre l'essentiel du feu ennemi et devient l'enjeu d'une terrible bataille. C'est « l'enfer de Verdun ».

Les soldats français bloquent l'attaque allemande au prix d'énormes pertes. Leur ravitaillement a été acheminé par la seule route utilisable : celle de Bar-le-Duc à Verdun, bientôt dénommée « la Voie sacrée ».

Le 21 février 1916, à 16h 45, l'infanterie allemande se lance à l'attaque contre les positions françaises autour de Verdun, en Lorraine. Aucune bataille, aucune tragédie n'a autant marqué la mémoire des Français que la bataille de Verdun. Elle dure dix mois et pratiquement tous les soldats de la Grande Guerre y participent chacun à leur tour. Le sort de la France se joue dans cet affrontement...

Cette médaille a été attribuée à tous les soldats français qui ont participé à la Bataille de Verdun.

A l'avers, portrait de Jeanne d'Arc et inscription "ON NE PASSE PAS"; au revers, inscription Verdun - 21 février 1916.

Attribution en 1935 de la Médaille Interralliée à Silvain Parenton

Médaille Interralliée de Silvain Parenton

Cette médaille fut créée pour répondre à la volonté des alliées d'avoir une médaille commune commémorant la victoire de 1918.

L'aspect de la médaille est semblable pour tout les pays et est le suivant : à l'avers doit se trouver une victoire ailée. Au revers, on retrouve l'inscription « La grande guerre pour la civilisation ».

Les pays suivant ont réalisés leur médaille interalliée : Afrique du Sud, Belgique, Brésil, Cuba, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Grèce, Italie, Japon, Portugal, Roumanie, Siam, Tchécoslovaquie.

Briquet de "Poilu" de Silvain Parenton

Ce n'est pas une médaille mais pour l'anecdote...
De nombreux objets étaient fabriqués par et pour les soldats dans les tranchées.
Ici le "briquet de poilu" de mon grand père Silvain.
Sur le recto est inscrit : "LA DEFENSE DE VERDUN - ON NE PASSE PAS" - un coq avec la date 1916 et la mention : "Fleury Thiaumont."
Sur le verso : "THE TANK" et une image d'un tank sur un champs

Guerre d'Algérie 1954-1962

Insigne du 2ème Régiment de Spahis Algériens de Pierre-Etienne Chevalier

C'est dans cette unité que Pierre-Etienne a été incorporé pendant la Guerre d'Algérie.

Ce régiment a été créé en 1845 et dissout en 1962. C'était une unité de cavalerie de l'Armée de Terre de l'Armée Française.

Cet insigne date de 1952 : "Croissant montant biseauté d'or surmonté du chiffre "2" du même, le tout brochant sur deux sabres turcs à lames d'argent garnis d'or posés en sautoir."

Le croissant d'or symbolise les unités algériennes de l'Armée Française, les sabres ottomans en l'honneur des Mameluks de l'Escadron Yousouf de la conquête de l'Algérie au XIXème siècle.

Ange Marie Joseph Vantini, nait en 1809 à l'Ile d'Elbe. Il est enlevé à l'âge de 5 ans par les barbaresques et devient esclave du Bey de Tunis. A 20 ans, celui qui s'appelle maintenant Yousouf est Bey de Camp (équivalent de général). Il fuit Tunis à la suite d'une aventure amoureuse avec la fille du Bey.

Arrivé à Alger en 1830, il s'engage comme interprête et devient vite officier.

Son parcours sera exceptionnel puisqu'après avoir participé à tous les combats de la conquête de l'Algérie avec ses Mameluks, il deviendra Général de Division (1856), Grand croix de la légion d'honneur (1860), Gouverneur Militaire d'Alger (1855-1865). Il meurt à Nice en 1866 est est inhumé à Alger.

Médailles civiles

Attribution en 1999 de la Médaille de Bronze de la Famille Française à Thérèse Lavandier.
Cette médaille lui fut remise à la Mairie d'Aumale, lors d'une cérémonie en présence de la famille.

La "Médaille d'Honneur de la Famille Française" a été crée en 1920 pour honorer les mères françaises ayant élevé dignement plusieurs enfants.

Il existe trois degrés de récompense :
Médaille de Bronze (4 ou 5 enfants élevés)
Médaille d'Argent (6 ou 7 enfants élevés)
Médaille d'Or (8 enfants élevés et plus)